bienvenue dans l’atelier
Paris, de Marsay, un abandon, une inconnue, un facteur, un interprète écrivain public, un mulâtre, Ferragus
un jeune homme, une visite mystérieuse rue Soly, le couple Desmarets, le hasard d’une averse, un valet écrasé par une pierre, des joueurs de boule
un bal, un vieillard
de l’intertextualité, du piment, l’Ouest enclavé, Barbe-Bleue, un miroir et des lorettes
Les années qu’il faut pour arràªter le flux entrant du monde et lui tourner le dos, partir vers une autre conquàªte.
Franà§ois Bon, L’enterrement
Il est onze heures lorsque nous sommes à Saint-Bonnet. Nous tentons de mettre la chaudière en marche. Elle s’éteint aussità´t en là¢chant un nuage de fumée nauséabonde. Cathy allume alors la cuisinière et nous nous employons à vider les meubles, trier, empaqueter. Je tire du petit buffet en merisier les livres qu’il contenait, les monte sous[...]
l’or, et la violence qui l’accompagne
un mariage sans issue, la nullité de certains hommes, un Anglais aux traits de jeune fille, la Loire, l’avant Révolution, un peu d’opium, une narration croisée
Et, ivre de ma folie, je lui criai furieusement : « La vie en beau ! la vie en beau ! »
La littérature toujours là pour un peu mieux saisir le monde et l’humain, et tout particulièrement dans leurs écarts. Lu hier un bouquin de Kay Jamison, psychiatre et elle-même maniaco-dépressive. Renvoyait à un poème en prose de Baudelaire, "Le mauvais[...]
Zola parlait de curée ; aujourd’hui, c’est de dépeçage qu’il faudrait parler/écrire. Chez Zola, les loups sont autant financiers, politiques qu’alcooliques. Cette image qu’on donne des Rougon-Macquart à l’école, dans les manuels, à petits coups d’extraits bien limités : misère, alcoolisme, pauvreté, déchéance,[...]